Kevin Meynier

Test et avis sur la BenQ Screenbar Halo 2.0

Table des matières Après plusieurs semaines d’utilisation au quotidien, il est temps de vous présenter mon test complet de la BenQ ScreenBar Halo 2.0, une lampe de bureau haut de gamme qui s’adapte à tous les écrans. Présentation de la BenQ ScreenBar Halo La ScreenBar Halo de BenQ (modèle 2023) se présente toujours avec un design cylindrique en aluminium noir et se positionne sur la tranche du haut de l’écran (écran plat ou incurvé), elle projette sur votre bureau un faisceau qui vous aide à vous concentrer, vous permet de mieux voir vos outils de travail et vos papiers, et crée une atmosphère chaleureuse autour de votre écran, tout en diminuant la fatigue oculaire. Installation L’installation de la ScreenBar Halo est vraiment simple. Pour cela, il suffit de placer la lampe sur le dessus de votre écran grâce à sa pince équipée d’un poids avec un revêtement en silicone qui permet de bien tenir sur la surface de l’ordinateur sans l’abîmer. Pour ce qui est de son alimentation, la lampe bénéficie simplement d’un câble avec une prise USB classique que l’on branche soit directement sur l’écran, s’il est équipé d’un port dédié, soit sur la tour de votre PC. Qu’apporte la ScreenBar Halo? Les 4 avantages de la Screenbar Halo : Une télécommande sans fil en Bluetooth réduisant la présence des fils sur le bureau. La pince s’adaptant autant à des écrans plats qu’à des écrans incurvés grâce à son extension. La couverture d’éclairage plus large grâce à sa lampe de 50cm de largeur permettant d’éclaire un espace entre 40cm à 65cm. Les 3 modes d’éclairage disponibles : Avant, Arrière, Avant + Arrière.   La lampe est livrée dans un package bien conçu. Les piles de la télécommande Bluetooth sont livrées avec la lampe. Il suffit de connecter la lampe à une prise USB 5V et de positionner les piles dans la télécommande pour allumer la lampe. Sans éclairage ARAvec éclairage AR La version 2023 apporte principalement des améliorations sur la télécommande. Celle-ci est toujours sans fil et alimentée par trois piles AAA (fournies), elle est assez lourde et semble de très bonne qualité. Elle possède également un cadran avec un écran tactile en façade. Les commandes tactiles sur le dessus sont à présent visibles sans être éclairées, très réactives et permettent de changer rapidement les réglages de la lampe. L’autre nouveauté concerne l’allumage de la télécommande. Pour pouvoir accéder à une commande de la télécommande il fallait passer la main au dessus et ainsi la réveiller. Maintenant une simple pression du bouton de la commande que vous souhaitez régler et la télécommande s’allume automatiquement directement sur le réglage que vous avez sélectionné. De même pour allumer ou éteindre la lampe, une pression du bouton centrale suffit. Simple et efficace. Et la dernière nouveauté porte sur la rondelle qui permet de varier l’intensité. Sur la version précédente, il fallait faire plusieurs tour avec celle ci pour diminuer ou augmenter l’intensité d’une fonctionnalité, à présent elle réagit au moindre cm tourné. Pendant toute la période de test, l’expérience d’utilisation que procure la nouvelle télécommande est complétement positive avec cette version 2.0 de la Screenbar Halo BenQ. La télécommande dispose de 5 fonctionnalités : Réglage du niveau de luminosité. Réglage de la teinte de la lumière. Allumage / extinction lampe avant / arrière. Mise en favoris du réglage. Niveau automatique. Qualité d’éclairage de la BenQ ScreenBar Halo 2.0 Une fois réglée, il est temps de tester cette fameuse lampe. Depuis l’installation de la BenQ ScreenBar Halo, il ne m’est plus possible de travailler sans ou avec une simple lampe de bureau. Mais que vaut cette nouvelle version Halo ? Par son placement juste au-dessus de l’écran, cette lampe BenQ vient éclairer de manière uniforme l’ensemble du bureau, là où une lampe classique éclaire davantage un côté et surtout se reflète dans l’écran de l’ordinateur. Si vous travaillez sur des papiers en même temps que votre ordinateur, cela offre un véritable confort, clairement. La construction tubulaire permet de répartir l’éclairage sur l’ensemble du bureau , et ne focalise pas la lumière à un seul endroit comme une lampe classique. Cela apporte une vision agréable au fil des heures de travail. Grâce au réglage fin de l’orientation du tube LED, qui agit comme coupe flux pour l’éclairage, la lampe ne vient pas polluer l’affichage à l’écran.  La lampe dispose d’un IRC (indice de rendu des couleurs) supérieur à 95, ce qui est très bon pour un éclairage LED. Cela permet d’avoir une bonne restitution des couleurs. L’éclairement maximal est de 874 lux sur une zone centrale limitée. Au-delà, BenQ parle de 500 lux sur une surface étendue de 63 x 40 cm.  En résumé Si vous avez l’habitude de travailler la nuit, ou dans un environnement assez sombre, la ScreenBar Halo améliorera grandement votre confort oculaire et l’environnement dans lequel vous vous trouvez. Si vous possédez un modèle antérieur comme la ScreenBar Plus et même la précédente version de la Halo, il n’est pas non plus nécessaire de passer sur cette version. La principale différence entre la ScreenBar Plus et la Halo est la télécommande sans fil, alors oui si vous souhaitez un bureau dépourvu au maximum de fils, la ScreenBar Halo répond à cette attente et plus même. La ScreenBar Halo est une excellente alternative aux lampes de bureau traditionnelles, car en plus d’avoir un éclairage agréable et sans reflet, elle ne prend aucune place sur votre bureau. Sans ScreenBar HaloAvec ScreenBar Halo La simplicité d’installation sur l’écran. Une prise USB est suffisante pour alimenter la lampe. La possibilité de changer la température d’éclairage pour réchauffer l’espace de travail ou au contraire le refroidir. L’extension fournie pour adapter la lampe à des écrans incurvés. La télécommande sans fil très intuitive et réactive (Modèle 2023). Le confort visuel apporté par la lampe. La lampe est compatible avec l’utilisation d’une Webcam. J’aurai apprécié que l’éclairage arrière soit plus immersif, avec plus de possibilités d’éclairage. L’absence de câble USC-C amovible pour le branchement. Vous pouvez retrouver cette lampe BenQ ScreenBar

Faire du paysage avec le Nikon Z 100-400mm?

Encore de nos jours, les codes de la photographie ont la peau dure. Il n’est pas rare de voir un nouveau débutant en photo se faire conseiller un boitier à grande résolution avec un grand angle ou ultra grand angle pour pratiquer la photo de paysage. Je vais vous expliquer pourquoi c’est une terrible erreur, et pourquoi aujourd’hui je fais mes photos de paysages à 95% du temps avec mon Nikon Z 100-400mm. Tout d’abord, quand vous débutez la photo, vous avez une idée qui vous pousse vers elle, un domaine, une envie. Mais à ce stade, vous ne savez absolument pas quel sera votre univers propre, celui dans lequel votre créativité s’exprime pleinement. Ainsi vous pouvez très bien débuter le paysage, et au fil du temps vous initier au portrait en nature ou encore l’animalier et tout autre domaine, mais quel serra celui qui colle parfaitement avec votre personnalité, celui qui vous plait le plus? Vous n le savez évidement pas au tout début. C’est pour cela, que conseiller un matériel à usage spécialisé n’est pas le bon choix. Il y a des optiques, qui contrairement à un UGA ou gros téléobjectif, vous permettra de pouvoir vous essayer à tous les domaines (Plus ou moins, je pense à l’animalier) comme le 24-70mm 2.8. Une optique que je caractérise de couteau suisse, tant j’ai pu faire avec lui du paysage (de jour comme de nuit), du reportage, du portrait, du sport… Vous voilà maintenant averti, ne vous imposer pas de limites créatives, surtout au commencement par du matériel trop spécialisé. Mais pourquoi j’en suis arrivé à ne faire de la photo de paysage qu’avec un téléobjectif comme mon Nikon 100-400mm Z? Comme expliqué au dessus, je ne suis pas adepte des codes, bien au contraire j’aime les casser, ainsi pour ma moi tous les objectifs sont recommandables pour toutes les pratiques. Vous pouvez pratiquer le portrait avec un 300mm 2.8 qui aplati beaucoup plus les plans qu’un 50mm et c’est peut être ce que vous aimez. Ou encore le paysage avec un 500mm. Lorsque j’ai débuté la photographie, j’ai suivi les codes, de ce que je voyais, et bien sur j’ai débuté avec un 16mm. Mais il ne m’aura pas fallu longtemps pour regretter mon choix, ainsi je suis passé au 85mm où j’ai commencé à pratiquer d’autres domaines comme le portrait et reportage. Puis s’en est venu le 135mm, et là j’ai vraiment créé mon univers. Lorsque vous partez en montagne avec un 135mm uniquement, autant vous dire que vous n’aurez pas de flexibilité en terme de cadrage, mais est-ce réellement un problème? Non. En montagne la marge de déplacement pour s’approcher ou reculer de votre sujet reste moindre, mais avec un téléobjectif votre sujet sera soit trop loin, dans ce cas vous n’avez pas une longueur de focale suffisante, soit trop prêt. Et c’est dans le deuxième cas que finalement une longue focale n’était pas un problème, car comment avoir un cadrage plus large lorsque vous êtes trop serré? La photo panoramique. Ainsi, mes débuts dans ce domaine ont ouvert énormément mes possibilités créatives et donc mon univers propre. Du 135mm est venu un 70-200mm mais très rapidement je suis passé sur le Nikon 300mm PF suivi du 500mm PF. Avec le 300mm j’étais soit parfait en terme de cadrage, soit trop prêt et de ce fait je faisais des panoramas me donnant des images finales qui correspondaient à des focales jusqu’à du 50mm par moment. Créativement parlant, j’ai débuté une relation plus intime avec la montagne, la chaine de montagne est devenue un sommet qui lui, est devenu mon model pour en faire son portrait. Nikon D850 + 500mm PF 44 images Nikon Z7 + 500mm PF 89 images Nikon Z7II + 100-400mm 9 images Vous pouvez voir, que le nombre d’images n’a de limites que votre cadrage final souhaité.Cependant, bien prendre en considération qu’une photo panoramique aura également le poids de ses x photos qui la compose. Il est donc vivement recommander d’avoir le matériel informatique adéquat pour pouvoir travailler sur ce type de fichier. À ce jour je travail avec le récent Nikon 100-400mm Z qui en plus de m’apporter une longueur de focale suffisante, il me permet également d’être plus flexible pour mes reportages et toute autre mission professionnelle. Rapide, léger, précis et d’une qualité d’image remarquable, il est devenu mon objectif fétiche, je ne sors jamais sans lui à présent et il fait face à toutes les conditions météorologiques même les plus dures comme dormir dans la glace par -25°C -30°C… Vous savez à présent tout sur le choix d’un objectif et pourquoi j’utilise un téléobjectif en photo de paysage !

MSI Creator Z16P : Pour qui et pourquoi ?

MSI a créé une nouvelle gamme CREATOR, mais pour qui et pourquoi? En dehors de mon travail de photographe professionnel, je suis un vrai geek fan de jeux vidéos en ligne, j’utilise donc un PC fixe équipé de composants MSI dédiés en premier lieu pour le GAMING. Mais force est de constater qu’un pc gaming propose des performances pouvant être exceptionnelles et aujourd’hui, il est vrai que ce type de matériel reste très souvent utilisé par les créateurs graphiques (amateurs et professionnels). C’est comme ça que la gamme MSI Content Creation est née avec du matériel plus sobre, passe partout et utilisant des matériaux premiums mais conservant toutes les performances du matériel Gaming ! J’ai donc pris le MSI CREATOR Z16P pour compléter mon PC gaming et surtout m’accompagner lors de mes déplacements professionnels. Ce laptop est un ordinateur haut de gamme et ça se voit clairement dans son look. Il est équipé d’un processeur Intel I7 de douzième génération, d’une carte graphique RTX 3070ti ainsi que 32GB en DDR5. Que vous soyez adepte de jeux ou créateur graphique, cette machine a de quoi assurer toutes les tâches même mes plus exigeantes. Après quelques tests, il a pu gérer mes travaux sans trop d’efforts, même mes plus gros panoramas avec des fichiers de plusieurs gigas sur plusieurs logiciels en même temps. Seul la partie RAM était presque limite par moment, et 64GB serait surement appréciable dans mon travail. Heureusement, il existe différentes versions avec comme processeur le choix d’un I7 ou I9 ou encore 32Gb ou 64GB de RAM. Coté stockage, je dispose ici d’un SSD estampillé Samsung tout comme la RAM. Avec plus de 6600 Mo/s en lecture et près de 5000 Mo/s en écriture, ce SSD se débrouille parfaitement pour toutes les tâches. Que ça soit de la copie, du téléchargement, du transfert de données, rien ne fait peur à ce type de supports de stockage. On dispose également d’un second slot M.2 PCIe 4 pour connecter un second SSD, ce qui s’avère très pratique pour augmenter le stockage du PC. Pour ce qui est de son écran, MSI propose ici une dalle QHD+, à savoir 2560 x 1600 px en format 16:10. ce dernier couvre 100% du spectre colorimétrique DCI-P3, ce qui est indispensable pour la catégorie de clients que vise cette gamme CREATOR. J’apprécie la justesse des couleurs d’origine même si, comme il est coutume de faire, j’ai effectué une calibration de l’écran à l’aide de ma sonde Calibrite ColorChecker pour un travail graphique des plus précis. Je regrette une petite chose sur cette dalle, c’est les reflets qui se font assez présents sur l’écran selon les angles, c’est assez dommage. Malgré cela, il suffit de réorienter l’écran pour les faire disparaître très rapidement. Car en effet, on dispose ici d’une dalle brillante, pour la simple et bonne raison que l’écran est tactile ! Ce qui est relativement très pratique suivant les logiciels sur lesquels je peux travailler ! Pour conclure cette review, le MSI Z16P est un excellent ordinateur portable qui saura accomplir n’importe quelle tâche. Je regrette simplement la brillance trop présente sur la dalle même si j’apprécie beaucoup son utilisation tactile avec le stylet dédié et le manque d’un port HDMI ou DP1.4 même si un convertisseur vers USB-C peut faire l’affaire. Vous pouvez trouver cet ordinateur portable directement sur le site MSI ou sur leur revendeur partenaire LDLC.

Workshop MSI

Lors d’un atelier organisé avec MSI, nous avons présenté mon travail et pourquoi j’utilise le matériel informatique MSI (Creator & Gaming) ainsi qu’aborder et pratiquer la retouche d’images. Divers laptops MSI étaient disponibles avec leur logiciel Lightroom pour se faire en plus d’une multitude de produits de la marque en présentation. C’est dans un magnifique cadre que nous avons, pendant quelques heures, partagé ensemble la passion de la création numérique. Après cet atelier de traitement d’images, un super cocktail était de la partie pour terminer cette journée en beauté où avec l’équipe MSI, nous avons pu échanger avec tous nos participants. Voici la vidéo de l’événement faite par TBL Agency

Moodboards Honda 2023

Séminaire Honda à Valmorel dans le but d’établir de futurs moodboards pour les nouvelles fraises à neige hybrides, la nouvelle Honda Civic Type R Hybride, HR-V e:HEV, la nouvelle Hornet ainsi que d’autres modèles.

Immersion au creux des vagues

En partenariat avec le Nikon Plaza de Paris 4H du mat’ départ pour la côte atlantique, matos chargé dans le coffre et l’excitation de la nouveauté bien présente ! Arrivé sur spot, je rejoins Jolan pour voir ce que l’on fait, voir si les conditions de surf sont bonnes et donc commencer à shooter. Le soleil se lève, l’air se réchauffe, la journée débute enfin et l’air salé enivre mes inspirations. La matinée fût bien sympa pour les prises de vues, j’aime regarder, apprendre et me fondre dans ce microcosme qu’est le monde des vagues. Les heures défilent sans que je n’ai le temps de surveiller le soleil, faute d’être parti à l’arrache, la crème solaire aurait été appréciable, résultat je crame littéralement, mais le plaisir de shooter me fait oublier ce désagrément….Les journées ont un air de vacances, même si je dois tout de même remplir mon reportage photo, et c’est sur le sunset que je vais vraiment prendre plaisir à jouer avec la lumière comme j’aime le faire ! Ce n’est jamais facile de travailler un domaine que vous ne faites normalement pas, mais cela a été très enrichissant, autant sur le plan humain (rencontre et humilité) que sur le plan technique (des techniques et réglages bien différent du paysage, et surtout une rapidité a changer pour s’adapter à chaque situation). Je vous laisse découvrir le reste en image !

Test de l’écran BenQ SW271C

Le BenQ SW271C est une mise à jour du SW271, un best seller de la marque. Ce moniteur de 27 pouces 4K UHD de 3840 x 2160 px, comme son grand frère le SW321C, offre une connectivité moderne, une dalle IPS profite d’un traitement antireflet fourni, tout comme le SW321C, en standard d’une visière antireflet pour contrôler les conditions d’éclairage ambiant et l’éblouissement.  Résumé des caractéristiques de ce moniteur : Taille de l’écran : 27″ Type de l’écran : IPS Technologie de rétroéclairage : LED blanches Résolution (max.) : 3840x2160px Luminosité : 300 Contraste natif (standard) : 1000:1 Angle de vue (gauche/droite, haut/bas) : 178/178 Temps de réponse : 5 ms Taux de rafraîchissement : 60Hz Rapport de forme : 16:9 Couleurs d’affichage : 1,07 milliard de couleurs   Gammes de couleurs : 99% AdobeRGB, 90% P3, 100% sRGB HDR : HDR10 / HLG Zone d’affichage (mm) : 596.16 x 335.34 Où et combien vaut-il ? Le prix du BenQ SW271C est de 1499€ au moment où je vous écris, et vous pouvez l’acheter directement sur le site benq.fr ou chez un revendeur agréé. Ergonomie De même conception que son ainé le SW321C, le BenQ SW271C est un moniteur de qualité professionnelle. Sans être imposant comme un moniteur 32 pouces, le SW271C est bien proportionné pour un écran que l’on utilise à bout de bras. Ses caractéristiques ergonomiques sont exactement les mêmes que son ainé le SW321C si vous souhaitez en savoir plus. Pour ce modèle je vais me concentrer sur ses caratéristiques colorimétriques ainsi que son logiciel Paper Color Sync. Le moniteur BenQ SW271C est équipé d’une multitude de connectivité. Les entrées incluent une prise casque, un port USB 3.1 en amont, un port USB Type-C (qui prend en charge une alimentation jusqu’à 60 W ainsi que des données et le mode DisplayPort), un DisplayPort 1.4, deux ports HDMI 2.0 ainsi qu’un port mini USB (utilisé pour connecter le dongle Hotkey Puck G2 inclus).  Le port USB 3.1 mentionné précédemment est utilisé pour alimenter le lecteur de carte SD intégré ainsi que les deux ports USB Type-A situés sur le côté gauche de l’arrière du moniteur. Le lecteur de carte SD et les ports USB sont encastrés sur le coté gauche mais sont facilement accessibles lorsque vous inclinez le côté du moniteur vers l’avant. Lorsqu’il n’est pas utilisé, le Hotkey Puck G2 peut être stocké dans l’emplacement dédié situé à la base du bras du moniteur du BenQ SW270C. Le Hotkey Puck G2 sert en quelque sorte de rallonge aux commandes relative à l’écran situées dans le coin inférieur droit de celui-ci. Qualité de fabrication Le BenQ SW271C est comme ses prédécesseurs un moniteur bien construit avec une conception professionnelle. Le revêtement antireflet mat sur l’écran et le capot d’ombrage détachable fonctionnent bien ensemble pour réduire au minimum les reflets gênants en orientation paysage comme en portrait. Bien que l’écran soit logé dans un boîtier en plastique, tout semble solide grâce aux tolérances précises avec lesquelles tout s’emboîte. Le bras et la base fournis avec le BenQ SW271C sont également bien construits, ils font un excellent travail pour garder le moniteur fermement installé sur votre bureau. L’ajustement de la hauteur, du pivotement et de l’inclinaison peut être effectué sans effort sur l’écran pour vous assurer de toujours regarder le moniteur à un angle confortable.  Vous pouvez même faire pivoter l’affichage pour l’utiliser dans une orientation portrait si votre flux de travail l’exige. Les boutons d’alimentation et de menu physiques du SW271C sont également très bien conçus, sans flou gênant lorsqu’ils sont pressés, ce qui est souvent le cas avec les boutons de moniteurs moins chers. Si je devais vraiment faire une critique, c’est les bords de l’écran qui en 2021 pourrait être plus mince, comme c’est déjà le cas chez la concurrence. Colorimétrie En termes d’espaces colorimétriques pris en charge avec les préréglages prêts à l’emploi, il existe une longue liste, notamment Adobe RVB, sRVB, Rec.709, DCI-P3, Display P3 et plus encore. Le SW271C peut également stocker trois profils distincts entièrement calibrés et est à la fois certifié par Calman et validé par Pantone.* La précision des couleurs est extrêmement importante pour un photographe ou vidéaste, BenQ a développé la technologie AQCOLOR, conçue pour une reproduction précise du travail créatif dans la conception graphique, la photographie et la post-production vidéo, et s’est construite sur les efforts de son équipe d’experts en couleur. Votre travail professionnel bénéficiera de couleurs précises avec des gradations de couleurs les plus douces, des transitions de couleurs naturelles et des ombrages subtils. La dernière technologie d’uniformité de BenQ offre des couleurs précises sur tout l’écran d’un coin à l’autre pour un visionnage parfaitement authentique et cohérent en utilisant un appareil de haute précision pour affiner méticuleusement la couleur et la luminosité dans des centaines de sous-régions sur l’ensemble de l’écran. Paper Color Sync BenQ a également donné au  SW271C une autre astuce qui pourrait intéresser les photographes qui aiment imprimer à la maison. Equipé du logiciel gratuit Paper Color Sync, vous allez pouvoir simuler les résultats d’impression. Vous pouvez éditer des photos avec efficacité et confiance dans ce processus d’impression de l’écran à l’impression qui vous fait gagner du temps en sélectionnant simplement la gamme de couleurs de la photo, le modèle d’imprimante et le type de papier pour obtenir un aperçu. Conclusion Ce BenQ SW271C à bénéficié d’une excellente mis à jour comme le reste de sa gamme. Vous y trouverez l’USB-C avec une alimentation de 60 W, une uniformité améliorée, une meilleure LUT 3D pour l’étalonnage du matériel, la fonction Paper Color Sync et le nouveau « hotkey Puck » amélioré qui vous permet de modifier plus facilement les paramètres de l’écran. Cepandant, je regrette son prix de 1499€ qui représente une hausse non négligeable par rapport à sa première génération le SW271 qui était aux alentours de 1199€ à sa sortie. Mais La qualité et les mis à jour apportées ont un prix.

Test du porte filtre NiSi Switch

Bonjour à tous, je vous propose à travers cet article, le test sur le terrain du tout nouveau porte filtre Nisi Filters Switch 100mm. Ce nouveau porte filtre vient en complément des autres systèmes, et ne remplace pas l’actuel V6, je vais vous expliquer pourquoi. Nisi Filters en collaboration avec Nisi France m’a demandé de tester ce nouveau porte filtre, se destinant à être plus créatif que les autres systèmes. Ici je ne parlerai pas de déballage produit et packaging, mais uniquement du produit et surtout de son travail sur le terrain ! Comme vous pouvez le voir, il ressemble comme deux gouttes d’eau au Nisi V6. Vous allez me dire, mais qu’a t-il d’innovant dans ce cas ?  Lorsque j’ai reçu le Switch, la première chose que j’ai vu, c’est les possibilités créatives, surtout en montagne. En effet le switch permet de pouvoir positionner deux filtres GND, mais non pas en parallèle, mais en position indépendante l’un de l’autre ! Actuellement le V6, ou tout autre système, permet de pouvoir mettre plusieurs filtres superposés, mais dans tous les cas, vous serez obligé de tous les positionner parallèlement ! La créativité est donc limitée, mais surtout agir sur deux zones distinctes peut être vite compliqué lorsque les paysages ne sont pas rectilignes avec l’horizon. Dans la manipulation, j’aurais apprécié une tige ou levier permettant d’effectuer la rotation du deuxième GND, mais sur le terrain celle-ci s’est avérée naturelle et aisée. On notera également que seulement deux slots sont disponibles sur ce porte filtre, effectivement il est vraiment orienté dans le travail des filtres GND, chose que je fais à 90% du temps. Ce n’est donc pas un mauvais point pour ma part, il convient parfaitement à mon utilisation que ce soit sur un ultra grand angle ou un téléobjectif. Je retiens de cette première prise en main, tout d’abord,  l’évolution majeure des possibilités quant à l’utilisation des filtres GND, la complémentarité avec le système V6, la vis de blocage qui peut maintenant se retirer intégralement du système et pour finir la compatibilité avec la bague du V5 pro et V6. On passe maintenant à son utilisation sur le terrain !  Comme vous pouvez voir ci dessus les trois images, sur la première on a une source de lumière principale venant de la gauche au niveau du pic, et ensuite le reste du paysage. Dans l’idée, je voulais isoler ce point de lumière pour mettre l’accent sur le pic à la lecture de l’image et en même temps, mettre en valeur la belle ambiance nuageuse dans la lumière. Avec le Nisi Switch, j’ai donc pu positionner un GND 1.2 medium en haut parallèle à l’horizon, mais également un GND 0.9 medium lui à 45° sur le versant de droite.  Sur l’image finale à droite, on voit de suite où se situe la source de lumière principale, sans avoir le versant de droite qui perturbe la lecture et un ciel plus sombre, collant parfaitement avec l’ambiance orageuse du jour.  Comme vous pouvez le voir, les possibilités sont nombreuses quant au placement des deux filtres GND.On a enfin la capacité de pouvoir guider notre lumière là où on veut qu’elle soit et comme on le souhaite sur le terrain. Le Nisi Switch est devenu mon porte filtre fétiche en montagne ou avec des paysages non rectilignes, le positionnement des filtres est dès maintenant très précis, ce qui en fait un atout phare au sein de la gamme Nisi.

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